Bangkok

Avant et après notre découverte de la plongée sur l'île de Koh Tao, nous avons séjourné à Bangkok, chez Julia une cousine d'Alice. Encore merci à toi, Julia.
Bangkok, c'est entre autre : 10 millions d'habitants, des températures supérieures à 30 degrés jour et nuit (bénie soit la clim), un trafic routier monstre malgré l'accumulation d'autoroutes à étages, des grattes ciel en veux tu en voilà, des centres commerciaux gigantesques, bref, une mégalopole démesurée. Ici, contrairement aux autres pays d'Asie que nous avons visité, c'est la voiture qui domine. C'est un symbole de richesse, et une promesse du gouvernement (2 clés par famille, une pour la maison, l'autre pour la voiture). Malheureusement, le réseau routier urbain n'est fait que pour accueillir le quart des véhicules en circulation.
Les temples d'antan sont à l'image de la ville, too much : des dorures, des toitures qui ont fière allure, des mosaïques en céramique très chic.

Le premier soir, nous allons au théâtre voir le ballet de Ramayana. C'est une vieille histoire hindoue sur la vie de Rama (une des réincarnations de Vishnu), qui peut durer 9h, mais nous verrons cette fois ci la version allégée de 2h. Quelle précision dans les gestes, quelles souplesses des doigts, quelle démesure dans les costumes, le tout sur fond de musique traditionnelle et sous titré en anglais.

Nous nous promenons également dans le marché de chatuchak, immense bazar et dans celui de Patpong qui a lieu la nuit dans un quartier où l'on nous propose entre 2 stands touristiques des pussy ping pong ou des pussy submarine, on vous laisse deviner...

Nous visitons aussi la ville d'Ayutthaya, capitale au Xe siècle, voisine de la nouvelle. Elle abrite des vieux temples, encore de la démesure mais à l'état de ruine cette fois ci (merci les birmans).
Rien à voir, nous essaierons pour la première fois les massages thaï. Plus qu'un massage, c'est un mélange de déboitement, de pétrissage et de dislocation. Ça craque, ça fait mal, on pleure puis ça fait du bien. Drôle de philosophie.

Pour notre dernière soirée à Bangkok, Julia nous emmène prendre un verre dans un bar ouvert sur le ciel de Bangkok au 64ème étage d'une tour. La vue est saisissante, et quel chic !